L’annee se termine dans quelques heures, ainsi, comme a chaque fin d’annee, c’est temps d’effectuer un bilan. Sauf que une telle fois, votre n’est jamais seulement le bilan de l’annee que je vais faire, mais un bilan plus global, depuis que j’ai commence a m’interesser au developpement personnel.
En 2008 je terminais mes etudes des reves plein la tete : une vie heureuse, un job epanouissant, les gens qui comptent pres de moi… sites de rencontres kink sympa j’avais hate de me lancer, de croquer le passage d’etudiant a travailleur a pleines dents.
Probleme : bien ne s’est pas passe exactement comme prevu. En 2009, je me suis rendu compte que je faisais fausse route et qu’il etait plus que moment que je prenne ma vie pose i ci?te. Que je devienne enfin le maitre a bord, le capitaine du navire, ainsi, que je lui donne une nouvelle direction : celle du bonheur.
C’est la que j’ai commence a m’interesser au developpement personnel. Je ne pourrais nullement donner de date exacte : quelque part entre fin 2008 et debut 2010 : entre des simples lectures et le passage a l’action, depuis 1 monde.
Bref, l’idee de ce post c’est d’effectuer le bilan de ce que m’a apporte l’essor personnel entre le moment ou j’ai commence a m’y interesser (il faut dire 2009 par commodite), et aujourd’hui, veille du passage a 2014.
Voici donc en quoi l’essor personnel a change ma vie :
1 : j’ai vaincu la timidite
Avant de m’interesser au developpement personnel, j’etais quelqu’un d’extremement timide. Incapable d’aligner deux mots de suite a un inconnu (aussi a UNE inconnue, vous imaginez les degats).
Rentrer dans une boulangerie pour commander du pain etait une veritable torture. Encore plus s’il y avait des clients avant / apres moi, qui m’entendraient commander. Ma hantise, d’ailleurs, c’etait que Notre boulangere me fasse repeter, que je rougisse, bafouille, et que je meurs de honte.
Alors evidemment, une telle timidite m’empechait d’effectuer des rencontres. Mais elle m’empechait aussi de m’epanouir au article, ou j’etais incapable de nouer la moindre relation cordiale avec mes collegues (et pour cause, un parler me donnait des sueurs froides !). Croyez moi, au moment oi? J’ai timidite vous bloque a ce point la, c’est qu’il est temps de faire quelque chose.
Le propos de ce billet n’etant pas de vous raconter De quelle fai§on j’ai vaincu la timidite, on se trouve dans ce billet si ca vous interesse d’en savoir + sur mon combat.
2 : j’ai demissionne d’un boulot qui ne me plaisait plus
Mon premier emploi etait le boulot de les reves. Litteralement. J’etais journaliste sportif Afin de un club de foot professionnel. Je suivais des joueurs partout, dans l’ensemble des stades de France. J’ai eu faire mes idoles, j’en ai interviewe une agreable partie, et j’ai serre la pince a la majorite d’entre eux (meme a Quelques vainqueurs d’la Coupe de l’univers 98 !). Ce job rendait fou la plupart de mes colli?gues. Et au debut, je dois bien dire que c’etait le top. Sauf que petit a petit, votre job de reve reste devenu un veritable cauchemar…
Impossible de nouer contact avec faire mes collegues, impossible de rencontrer des personnes dans une telle nouvelle metropole (j’etais a environ 300 kilometres une moindre connaissance). J’etais paye une misere, je bossais 70 heures par semaine et je n’avais pas la moindre reconnaissance Afin de mon boulot. Suite a une succession d’evenements douloureux, ainsi, me sentant m’effondrer dans la deprime profonde, j’ai fini via demissionner. C’etait plus fort que moi. Presque un instinct de survie. Je raconte votre epoque, surement ma plus noire de mon existence, dans ce post (y compris comment des ‘supporters’ completement tares s’en sont commande a les biens personnels).
Il fallait que je quitte cet environnement a bien prix, ainsi, j’ai fini par le Realiser. Merci l’essor personnel qui m’a donne le courage d’imprimer les 30 lignes de propos ayant change mes ri?ves : ma lettre de demission.
3 : j’ai repris confiance en moi et en mes capacites
En me debarrassant ma timidite, j’en ai profite Afin de aller beaucoup plus loin : prendre VRAIMENT confiance en moi. Assumer mes actes, devenir fier de votre que j’suis, etre pret a defendre faire mes pensees et les valeurs. Bref, devenir votre adulte confiant.
C’est probablement cela a demande le plus d’effort et via le plus long terme, car ceci demandait des modifications profondes dans mon comportement inconscient : la maniere dont je me parlais a moi-meme (arreter d’etre systematiquement negatif), modifier mon rapport a toutes les autres et comprendre que les relations humaines ne sont gui?re systematiquement conflictuelles, etc. J’ai mis a peu pres 2 ans Afin de passer du stade ‘0 confiance‘ a ‘correctement confiant‘. Et encore 2 autres annees a passer du ‘correctement confiant‘ a ‘top confiant‘, ou j’estime en etre actuellement.
Notre plus dur a probablement ete de me dire qu’avoir confiance en soi ce n’est que rarement ecraser ni mepriser les autres, au contraire. J’ai tellement ete eduque par les parents qui me repetaient qu’il faudrait etre gentil et laisser les autres avant soi, qu’au final j’etais devenu un paillasson qui s’ecrasait systematiquement. Ce comportement auto-destructeur reste desormais totalement derriere moi : je vis mes ri?ves i mon sens, pas pour les autres.
4 : j’ai rebondis apres un licenciement en creant la propre entreprise
Avoir confiance en soi est un des criteres primordiaux Afin de ne pas sombrer si on se prend des mauvais coups. Di?s que je me suis fait licencier du deuxieme boulot (celui que j’ai retrouve apres la demission du job de journaliste sportif), j’aurais pu m’effondrer, me dire que j’etais maudit, ainsi, tomber en depression. Autour de moi, les mecs auraient probablement compris et m’auraient epaule dans votre epreuve.
En realite, ce qui s’est passe a etonne n’importe qui : j’etais HEUREUX d’etre licencie, parce que j’allais pouvoir voler de les propres ailes. C’etait l’opportunite que j’attendais pour devenir mon propre patron, coder notre entreprise, et dire ADIEU au salariat.